Le Comité de concertation a confirmé une série d’assouplissements dans le cadre de la phase 4 du “plan été” qui entrera en vigueur le 1er septembre prochain.

DéFI regrette les tergiversations et le temps perdu autour de la vaccination obligatoire du personnel soignant. Et insiste, une nouvelle fois, pour que le Parlement reprenne le contrôledémocratique de la gestion de la crise.DéFI a toujours défendu l’idée qu’aujourd’hui, la vaccination est le meilleur moyen d’arriver à une immunité collective et d’ainsi, empêcher l’apparition de nouveaux variants. C’est aussi la meilleure protection contre les mesures restrictives qui ont été prises et qui ont fait tant de mal. A savoir, le confinement et la fermeture d’activités ou la limitation de celles-ci.Une grande majorité de la population belge a adhéré à cette idée et a pris ses responsabilités tant individuelles que pour la collectivité. Il faut le souligner. Et c’est grâce à cette mobilisation que le Comité de concertation a pu prendre une série d’assouplissements qui nous rapprochent peu à peu de la normalité.DéFI regrette toutefois que la levée des restrictions ne concerne toujours pas le monde de la nuit, qui devra encore attendre jusqu’au mois d’octobre, au moins. Cette situation ne tient compte ni des bars se transformant en discothèques, ni de la nécessité d’un incitant à la vaccination chez les jeunes. Il est donc urgent de prolonger les mesures de soutien économique pour permettre au secteur de garder la tête hors de l’eau.DéFI continue inlassablement de demander le retour d’un débat démocratique autour des mesures de restriction de liberté, incluant la vaccination obligatoire du personnel soignant – que nous avons été les premiers à réclamer – et le “pass sanitaire” au sein du Parlement. Il est possible que le Parlement, à très court terme, puisse travailler et débattre de ces mesures.François De Smet, président de DéFI : “Si les situations épidémiologiques ou vaccinales contrastées entre les différentes régions ou communes nécessitent des décisions spécifiques, cela doit rester l’exception et non la règle. La gestion de crise doit rester coordonnée au niveau fédéral. Tant pour la cohérence et l’efficacité des mesures que pour leur compréhension auprès de la population. Sans compréhension, l’adhésion n’est pas possible.”

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