En février de cette année, le président de la République présentait enfin son plan contre le séparatisme islamiste et annonçait notamment la suppression des enseignements de langue et de culture d’origine (Elco).  Le 30 avril,  le même Macron signait un décret publié au Journal officiel du 2 mai, organisant l’enseignement de l’arabe dans les écoles primaires françaises dès le CE1.

Il s’agit de la validation d’un accord entre la France et la Tunisie, préparé par Najat Vallaud-Belkacem sous le précédent gouvernement.En pleine crise du coronavirus, le chef de l’État et le gouvernement ont donc fait passer en catimini un décret qui permettra à des professeurs tunisiens d’enseigner l’arabe à des enfants dont l’apprentissage de la  maitrise du français est déjà  un défi. Qui sera gagnant ? En tout cas ni l’intégration et encore moins l’assimilation qui sont les conditions incontournables de la réussite des populations d’origine étrangère dans une France menacée  dans son existence même par le communautarisme séparatiste.La promotion  de la langue arabe dans l’école de la République participe d’un projet politique que nous rejetons,  alors que de l’aveu même du président de la République dans son discours de Mulhouse, il est impérieux de « défendre nos libertés en luttant contre le séparatisme islamiste ».Debout la France s’opposera par tous les moyens possibles à ce décret contraire aux principes d’assimilation qui ont fondé la République.Nadejda SilaninaDéléguée nationale à l’Assimilation républicaine

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