Une oie ou un cormoran à joues blanches sous-d’accord ne peut être abattu qu’avec une dérogation à l’autorité.

Le projet de loi ne s’y adresse pas. Toutefois, afin d’éviter les dommages, un tir d’oiseau avec permission doit actuellement être enterré ou brûlé. Le but du projet de loi est de permettre à ces oiseaux abattus avec une dérogation d’être utilisés pour la nourriture.– Il est pervers et même immoral que, afin d’éviter, par exemple, de graves pertes de récoltes, nous devrions expulser les oiseaux protégés en tirant, les laisser inexploités et les détruire », dit Myllykoski.– La Loi nationale sur la conservation de la nature exige maintenant la destruction de la nourriture. En même temps, nous sommes préoccupés par l’utilisation durable des ressources naturelles, et les files d’attente de pain tournent autour des escaliers. N’y a-t-il pas une contradiction ? Le programme gouvernemental inclut également l’objectif de réduire le gaspillage alimentaire, dit Myllykoski.Le projet de loi propose d’ajouter une disposition à la Loi sur la conservation de la nature qui constituerait une exception à l’interdiction de la prise en charge d’un animal protégé prévue dans la Loi sur la conservation de la nature dans le cas de l’oie à joue blanche ou cormoran abattu en vertu d’une dérogation accordée par le Centre ELY.La directive européenne sur les oiseaux n’empêche pas une telle modification à la Loi sur la conservation de la nature. Selon l’article 9(1)c), un État membre peut, dans des conditions contrôlées et sélectives, autoriser la possession ou toute autre utilisation appropriée d’un petit nombre d’oiseaux sous sous sous-d’autres. L’utilisation alimentaire de l’oie joue blanche est autorisée en Suède, au Danemark et en Estonie, par exemple.

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