Pour commencer, en tant que plus jeune candidat de votre liste, pouvez-vous dire votre nom, quel âge vous avez, de quel étranger vous faites partie et pourquoi vous avez décidé d’entrer en politique et exactement européen ? Qu’est-ce que ça fait d’être le plus jeune candidat sur votre liste et comment percevez-vous le comportement des autres collègues à votre égard ? Est-ce qu’ils mentionnent que vous êtes le plus jeune et de quelle manière ? Je m’appelle Gabriela Bošnjak, j’ai 29 ans, je suis membre de HSLS depuis 2014.

J’ai décidé d’entrer en politique alors que j’étudiais les relations internationales et la diplomatie lorsque j’ai commencé à faire des recherches sur les différentes idéologies politiques et leur impact sur la société. J’ai remis en question mes opinions et ma vision du monde et j’ai donc choisi un parti, j’y ai adhéré et le reste appartient à « l’histoire ». Grâce à mon travail au sein de la HSLS, à divers postes, notamment celui de membre de la présidence et de président des Jeunes libéraux croates, mon travail politique s’est concentré sur des questions importantes pour notre communauté et pour ma génération. En outre, j’ai une expérience professionnelle dans plusieurs secteurs différents, j’ai travaillé en tant que réceptionniste, assistante d’assistance routière, assistante administrative dans une maison de crédit-bail jusqu’à mon poste actuel de PDG de ma propre entreprise, ce qui me donne une perspective et une compréhension larges de la façon dont les politiques affectent la vie quotidienne. La route vers une Croatie meilleure passe par l’Europe ! Je pense que les politiques européennes sont cruciales pour le progrès de la société croate, car la Croatie doit participer plus activement à l’élaboration et surtout à l’élaboration des décisions politiques prises au niveau européen. Mon expérience professionnelle diversifiée, qui comprend la gestion d’entreprise dans le secteur de la construction, m’a appris la discipline et le besoin constant de numérisation et de modernisation des processus d’entreprise et d’allègement de l’administration redondante, des prélèvements fiscaux et parafiscaux et de mes problèmes que nous rencontrons tous dans la vie quotidienne. En tant que nouveau membre de l’UE, nous avons rattrapé notre retard, mais nous avons beaucoup à apprendre et nous sommes conscients du fait que nous sommes toujours une société en transition. Être le plus jeune candidat sur la liste n’est pas un sentiment particulier. Dans cette communauté de coalition, je me sens complètement égale et acceptée. Le fait que je sois la plus jeune a été mentionné à quelques reprises avec des expressions de soutien et de joie à la perspective jeune et fraîche que j’apporte. Le fait d’être le plus jeune candidat offre une occasion unique de faire une différence et de contribuer à partir d’une position qui est souvent sous-représentée en politique. Je suis entré en politique parce que je crois que nous pouvons façonner une Europe qui s’épanouira dans un esprit de liberté, de transparence et d’inclusion, et c’est la voie que je veux emprunter. Il semble qu’il n’y ait pas de place pour les jeunes (jusqu’à 30 ans) au Parlement. Comment évaluez-vous la situation au Parlement européen ? Je regrette qu’aucune personne de moins de 30 ans n’ait fait son entrée dans le nouveau parlement. L’expérience de vie est très importante, mais les jeunes donnent des points de vue et des perspectives différents. La représentation des intérêts des jeunes en politique est une question clé pour la représentation démocratique et l’engagement politique à tous les niveaux du fonctionnement de l’État. Au Parlement européen, la situation est un peu différente de celle des parlements nationaux, mais pas trop. Néanmoins, le Parlement européen est souvent considéré comme plus progressiste en termes d’implication des jeunes et de promotion de leurs intérêts, en partie en raison de sa nature supranationale et des nombreux programmes qui encouragent la participation politique des jeunes, tels que le programme Erasmus+ et le corps européen de solidarité. La participation politique des jeunes n’est pas seulement une question de représentation numérique. Il est également essentiel que les jeunes aient un impact réel sur les processus politiques et que leurs voix soient entendues dans la prise de décision. Bien qu’il y ait place à l’amélioration, le Parlement européen et, en général, les institutions européennes peuvent servir d’exemple sur la manière d’impliquer davantage de jeunes dans la politique et la prise de décision. Quels sont les trois principaux problèmes des jeunes dans l’UE et comment les résoudre ? Les trois principaux problèmes auxquels les jeunes de l’Union européenne sont souvent confrontés sont les suivants : – chômage – de nombreux jeunes de l’UE ont du mal à trouver du travail ou sont confrontés à des conditions de travail précaires et à un travail précaire, ce qui entraîne de l’incertitude et des difficultés à planifier l’avenir. Pour s’attaquer à ce problème, il faut adopter une approche multisectorielle qui implique de renforcer les liens entre les établissements d’enseignement et le marché du travail, de promouvoir l’enseignement et la formation professionnels et de favoriser l’esprit d’entreprise et l’innovation chez les jeunes. Les programmes d’aide à la jeunesse peuvent être renforcés et mieux promus.– Abordabilité du logement- La disponibilité de logements abordables est un autre défi majeur pour les jeunes. Le coût exorbitant des loyers et de l’immobilier empêche souvent les jeunes de devenir indépendants et de vivre de manière autonome. Des investissements sont nécessaires dans la construction de logements abordables, des subventions pour les jeunes familles et les personnes seules, et des modèles de logement novateurs tels que les logements partagés.

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