Nous voulons retourner vers le futur.

Nous devons repenser la politique. Passer en revue les écrans et les gros titres du lendemain et construire une vision qui rassemble le meilleur d’entre nous. Ce n’est qu’avec l’espoir, ce n’est qu’avec le courage qui vient de l’espoir que nous pourrons surmonter les discours de haine et les solutions démodées. Nous voulons plus, et nous savons que ce « plus » est non seulement possible mais nécessaire. Cette espérance qui est la nôtre est une force, c’est une inspiration, c’est une exigence. Nous voulons un Portugal plus juste et plus vivant : un État-providence renforcé, qui ne se contente pas de minimums, mais qui crée les conditions pour que chacun puisse être le meilleur de lui-même. Nous voulons apporter dans les lieux de décision une vision écologique, qui ne soit pas un simple tampon pour les moments électoraux, mais qui se traduise par des actions réelles, quotidiennes, transversales à tous les domaines, de protection de la planète et de soin de la nature. Nous voulons un pays positif et ambitieux, où la science, l’éducation et la culture ne sont pas considérées comme des « coûts », mais comme des « atouts » qu’elles sont. Un pays qui relie la connaissance à la vie et à l’économie réelle, et qui peut économiser ses talents pour gagner en Europe et dans le monde. À l’occasion du cinquantième anniversaire du 25 avril, nous voulons un pays encore plus libre.